Un rien qui dérape et nous voilà plongés dans un monde, le nôtre, soudain menaçant. Accablé d’une crainte sans nom, l’homme vit une tragédie. On l’a vu dans Paranoïa, le premier volet de cette série de nouvelles.
Ici, les choses parcourues de secrètes vibrations deviennent brutalemant étrangères. Objet familier comme cette divine machine à traitement de texte dotée de pouvoirs surnaturels…Engin maléfique, ce camion sournois, mastodonte aux instincts meurtriers, qui avance sans en avoir l’air…
Partout l’ombre de la mort plane. Quand elle ne rôde pas dans le Chenal, elle se perd dans les profondeurs vides d’un miroir, silhouette à capuchon, à l’image de la Faucheuse qui tranche le fil de nos vies à tous.
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