Alessander jeta un bref coup d’oeil au tableau. La plénitude et l’infinitude de l’horizon étaient rendues par une ligne qui se fondait dans les bords de la toile. Le peintre n’arborait aucun signe religieux, cependant il retranscrivait ce que l’orthodoxie proclamait: qu’Omale était un monde plat parcequ’il résultait de la division en deux du Ciel et de la Terre, et infini parce que Dieu lui-même était infini et qu’il s’incarnait dans Sa création.
Dans un lointain futur… Depuis de nombreux siècles, trois espèces cohabitent sur Omale: les Humains, les Chiles et les Hodgqins. Six de leurs représentants, seulement liés par la volonté de décrypter l’inscription sibylline figurant sur un bris d’oeuf dont ils disposent chacun, s’embarquent sur une nef afin d’accomplir la quête pour laquelle ils semblent avoir été élus.
A bord, ils vont apprendre à se conjnaïtre à travers la pratique du fejij, le complexe Jeu des Relations chile. Durant un voyage mouvementé qui les rapproche autant chaque jour de leur mystérieux commanditaire que de cruciales découvertes sur la genèse d’Omale…
Laisser un commentaire