XXIIIè siècle. Le REM, immense rideau et infranchissable rideau
électromagnétique, protège l’Occident des empires voisins.
Wang, jeune Chinois de dix-sept ans, vit avec sa grand-mère dans un quartier misérable de Grand-Wroclaw, Silésie – l’une des sous-provinces de Sino-Russie administrées par les néo-triades.

Parce qu’il a transgressé la loi d’Assol le Mongol, un parrain de
clan, Wang n’a d’autre choix que l’exil: une fois par an, une porte s’ouvre dans le REM. Mais qu’advient-il de ceux qui ont fui de l’autre côté ?
On parle d’esclavage. On dit aussi qu’ils sont contraints de s’affronter dans des arènes comme les gladiateurs de la Rome antique. Nul n’en est revenu pour témoigner…

Wang est le premier volet d’un diptyque, superbe roman d’anticipation et de politique-fiction servi par un souffle épique.