Ubik

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Tous les thèmes de la SF semblent s’être donnés rendez-vous, dans Ubik, pour y être tournés, déformés, dévoilant ces questions ultimes: la télépathies, le voyage temporel ou la mort.

Le foisonnement de l’imagination, la richesse et la complexité de l’intrigue sont un défi au résumé cohérent du monde où évolue Joe Chip, monde dans lequel on saute de 1992 à 1939, où les morts vivent en état d’animation suspendue, rêvant leurs pseudo-vies dans un univers onirique.

Entre l’univers où le temps se dégrade et le monde instable des morts, ubik est le piège final des réalités, qui marque une étape définitive dans l’oeuvre de dick. C’est sans doute une de ses productions les plus achevées qui vient couronner un cycle spirituel commencé avec Le Maître su haut château, continué avec Le dieu venu du Centaure et qui culmine avec le présent roman.

Stan Barets, Catalogue des âmes et cycles de la SF.

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Une réponse

  1. […] une gloire tardive grâce à une adaptation cinématographique, la décennie 60 s’achève sur Ubik, que beaucoup considèrent comme le chef-d’œuvre de Philip K. Dick mais que l’auteur […]

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