Le 17 octobre 1960 à 11 h 45 du matin, la DS présidentielle fut prise sous le feu d’une mitrailleuse lourde dissimulée dans un camion à la Croix de Berny. Le Général décéda quelques instants plus tard sur ces dernières paroles : «On aurait dû passer par le Petit-Clamart. Quelle chienlit…»
De Gaulle mort, pas de putsch des généraux, pas d’OAS, pas d’accords d’Évian, pas de référendum, et Alger reste française.
De nos jours, à Alger, l’obsession d’un collectionneur de disques pour une pièce rare des années soixante le conduit à soulever un coin du voile qui occulte les mystères de cette guerre et de ses prolongements…
Un roman polyphonique et jubilatoire sur lequel souffle le vent de l’histoire.
Récompenses
Ce roman considéré comme le chef d’oeuvre de Roland C. Wagner a été récompensé par :
- le nouveau grand prix de la science-fiction française 2011,
- le prix européen Utopiales des pays de la Loire 2011,
- le prix ActuSF de l’Uchronie 2011,
- le grand prix de l’Imaginaire 2012,
- le prix Rosny aîné de façon posthume à la 39e convention nationale française de science-fiction 2012.
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